VIOLENCES FAITES AUX FEMMES
Ces violences constituent les violations des droits humains les plus répandues, les plus persistantes et les plus dévastatrices dans le monde. Elles se manifestent dans tous les interstices de notre société et ne connaissent aucune frontière géographique, sociale ou culturelle.
L’actualité internationale et nationale nous rappelle sans cesse que la vigilance ne doit jamais retomber en matière d’égalité entre les femmes et les hommes.
Ces violences sont intolérables et inacceptables.
En France, en 2021, 122 femmes ont été tuées par leur conjoint ou ex conjoint.
La prévention et la lutte contre les violences constituent le premier pilier de la Grande cause nationale de l’Égalité entre les femmes et les hommes.
L’État n’a de cesse de renforcer les moyens mis en œuvre, notamment dans le cadre du Grenelle contre les violences conjugales ; extension du téléphone grave danger (TGD) et du bracelet anti rapprochement (BAR), déploiement d’intervenants sociaux en commissariat et gendarmerie (ISCG), dépôt de plainte facilité dans les hôpitaux pour éradiquer ce fléau qui brise des vies et pèse sur l’ensemble de la société.
L’État n’a de cesse d’améliorer la prise en charge de ces femmes victimes, de les protéger et de mieux prévenir la récidive. Nous sommes pleinement engagés dans cette lutte qui ne connaît pas d’accalmie.
Mais ce combat est le fruit d’un travail collectif. Nous sommes toutes et tous mobilisés contre les violences faites aux femmes.
Aussi, à l’occasion de la célébration de la journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes, le 25 novembre, la Délégation départementale aux droits des femmes (DDFE) vous invite à réaffirmer nos attachements respectifs et indéfectibles à cette grande cause.
Nous vous remercions par avance de votre mobilisation.